Les contraintes liées à l'altitude ne sont pas à
prendre à la légère. Il est impensable de vouloir partir
faire une grande ascension sans l'avoir soigneusement préparée
: bien plus que la montée terminale, il faut soigner sa marche d'approche
qui est la clé d'une bonne adaptation à l'altitude.
Enfin, malgré l'échec que cela représente, mieux
vaut savoir s'arrêter et redescendre, plutôt que continuer en
choisissant d'ignorer les signes du "mal aigu des montagnes" et
prendre ainsi de grands risque, notamment le risque de mourir.